Guy Novelli a reçu une double formation artistique à la fois aux Beaux-Arts de Paris et au Japon à Kyoto. Depuis plusieurs années, les paravents d’acier sont les supports de ses recherches, associant peinture et sculpture, réseaux gravés de vides et de pleins, transparences et miroitements. Le métal est son principal moyen d’expression.

Il reconnaît une influence asiatique dans ses œuvres, même s’il n’existe pas de tels paravents au Japon. Il collabore avec un ferronnier et ami pour concevoir de nouvelles formules d’articulation et d’équilibrage de ces sculptures.

Travail sur la rouille et le papier du Moulin à papier de Brousses

Les empreintes de rouille sur papier m'ont permis de transposer un peu de l'esprit du fer dans une autre matière.
De cette sorte d'alchimie sont nés des effets riches et variés avec une grande part aléatoire qui fait tout leur intérêt .Grâce à la coopération d’André et son savoir-faire, la transposition des motifs s'est faite lors de la fabrication du papier.
L'intégration des dessins au cœur même du papier a uni le support et le motif l'un rehaussant l'autre.

« Je souhaiterai continuer cette coopération car je sens que nous ne sommes qu'au début de nos découvertes et des nombreuses applications à venir. »